Enel SpA (ENEL), Italy’s biggest utility, dropped the most in 2 1/2 years in Milan trading after cutting dividend payouts by a third to reduce debt as recessions in its biggest markets weighed on revenue.
Enel fell as much as 8.3 percent to 2.79 euros, the most since June 2009. The shares traded at 2.86 euros at 9:45 a.m. local time, taking their decline over the past year to 32 percent.
The dividend payout for 2012 will be at least 40 percent of ordinary net income, down from a previous target of 60 percent.Net income fell 5.5 percent to 4.15 billion euros ($5.47 billion), hurt by a windfall-profit tax imposed in Italy, the company said today. That missed the 4.3 billion-euro average estimate of 16 analysts surveyed by Bloomberg.
Enel’s largest markets are Italy and Spain, where the European debt crisis is forcing governments to cut spending, holding back economic growth. The Rome-based company expects weak power demand in Italy throughout 2012 at a time when increased solar-panel installations are boosting supply.
“The weakened economic environment in the mature economies in which we operate is expected to persist, at least during the first part of 2012,” Chief Executive Officer Fulvio Contisaid in a statement. “Although this shows signs of recovery from 2013 onwards.”
Scrapped Interim
The company, Europe’s most-indebted power utility, scrapped a 2012 interim dividend on Jan. 31 as it focused on refinancing borrowings. Net financial debt was 44.6 billion euros at the end of 2011, compared with 44.9 billion euros a year earlier. The company is targeting a decrease to 30 billion euros by 2016.
Enel proposed a dividend of 26 euro cents for 2011, of which 10 cents were paid as an interim payout in November. It's discontinuing the payment of interim dividends from 2012.
The company said today it’s forecasting ordinary net income of 3.4 billion euros in 2012, 3.9 billion euros in 2014 and 5 billion euros in 2016.
Total capital expenditure for 2012-2016 will amount to about 27 billion euros, a reduction of about 4 billion euros compared with the 2011-2015 business plan.
LA VALEUR DU JOUR EN EUROPE - ENEL PLONGE À CAUSE DE SES DETTES
(AOF) - Enel, numéro un italien des services aux collectivités, chute lourdement à la Bourse de Milan. Le titre dévisse de 6,17 % à 2,857 euros après que le groupe ait annoncé réduire son dividende et ses investissements sur les cinq prochaines années ainsi que des résultats annuels inférieurs aux attentes. Le premier groupe de services aux collectivités européen par la taille de sa dette envisage de verser un dividende d'au moins 40 % de son bénéfice net à partir de 2012 contre une proportion de 60 % actuellement.
Par ailleurs, les perspectives déçoivent. Enel prévoit en effet de réduire sur la période 2012-2016 l'investissement à hauteur de 4 milliards d'euros. Il prévoyant auparavant d'investir 27 milliards. En outre, il a indiqué s'attendre à ce que son Ebitda chute de plus d'un milliard d'euros à environ 16,5 milliards d'euros en 2012 contre 17,5 milliards attendus par le consensus. Une baisse qui s'explique par une demande faible sur les marchés espagnols et italiens ainsi que par une forte concurrence. Le groupe a précisé qu'il mettrait en oeuvre des mesures de réduction de coûts destinées à générer 5,9 milliards d'euros de flux de trésorerie supplémentaires en 2015 par rapport à 2008.
Concernant ses résultats, Enel a généré un bénéfice net de 4,15 milliards d'euros en 2011 (consensus à 4,3 milliards), en recul de 5,5% tandis que l'Ebit a atteint 11,366 milliards, en hausse de 1% pour des ventes de 79,514 milliards d'euros, en hausse de 8,4%.
Dans le sillage de ces annonces, des sources de marché ont rapporté que l'agence de notation Standard&Poor's envisagerait d'abaisser la note de crédit d'Enel.
AOF - EN SAVOIR PLUS
LE SECTEUR DE LA VALEUR
Services aux collectivités
Les réorientations stratégiques sont à l'oeuvre parmi les énergéticiens allemands, lourdement impactés par l'arrêt des réacteurs nucléaires. En y ajoutant la taxe sur le nucléaire introduite le 1er janvier, E.ON estime que ses comptes ont été pénalisés de 1,9 MdEUR au premier semestre. L'impact sur les comptes de RWE s'est élevé à 900 MEUR. E.ON a publié la première perte nette trimestrielle de son histoire, à hauteur de 1,4 MdEUR. Le groupe a annoncé des restructurations qui pourraient concerner jusqu'à 11 000 personnes sur un total de 79000. Comme son concurrent RWE, il a dû réviser à la baisse ses prévisions pour 2011. RWE a, lui, enregistré une perte de 229 MEUR au deuxième trimestre. Pour assainir sa structure financière, le groupe souhaite lever 2,5 MdEUR de capital. Il désire également renforcer son programme de cessions et entend désormais se séparer d'actifs d'un montant total de 11 MdEUR, soit 3 MdEUR de plus que prévu.
Par ailleurs, les perspectives déçoivent. Enel prévoit en effet de réduire sur la période 2012-2016 l'investissement à hauteur de 4 milliards d'euros. Il prévoyant auparavant d'investir 27 milliards. En outre, il a indiqué s'attendre à ce que son Ebitda chute de plus d'un milliard d'euros à environ 16,5 milliards d'euros en 2012 contre 17,5 milliards attendus par le consensus. Une baisse qui s'explique par une demande faible sur les marchés espagnols et italiens ainsi que par une forte concurrence. Le groupe a précisé qu'il mettrait en oeuvre des mesures de réduction de coûts destinées à générer 5,9 milliards d'euros de flux de trésorerie supplémentaires en 2015 par rapport à 2008.
Concernant ses résultats, Enel a généré un bénéfice net de 4,15 milliards d'euros en 2011 (consensus à 4,3 milliards), en recul de 5,5% tandis que l'Ebit a atteint 11,366 milliards, en hausse de 1% pour des ventes de 79,514 milliards d'euros, en hausse de 8,4%.
Dans le sillage de ces annonces, des sources de marché ont rapporté que l'agence de notation Standard&Poor's envisagerait d'abaisser la note de crédit d'Enel.
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Services aux collectivités
Les réorientations stratégiques sont à l'oeuvre parmi les énergéticiens allemands, lourdement impactés par l'arrêt des réacteurs nucléaires. En y ajoutant la taxe sur le nucléaire introduite le 1er janvier, E.ON estime que ses comptes ont été pénalisés de 1,9 MdEUR au premier semestre. L'impact sur les comptes de RWE s'est élevé à 900 MEUR. E.ON a publié la première perte nette trimestrielle de son histoire, à hauteur de 1,4 MdEUR. Le groupe a annoncé des restructurations qui pourraient concerner jusqu'à 11 000 personnes sur un total de 79000. Comme son concurrent RWE, il a dû réviser à la baisse ses prévisions pour 2011. RWE a, lui, enregistré une perte de 229 MEUR au deuxième trimestre. Pour assainir sa structure financière, le groupe souhaite lever 2,5 MdEUR de capital. Il désire également renforcer son programme de cessions et entend désormais se séparer d'actifs d'un montant total de 11 MdEUR, soit 3 MdEUR de plus que prévu.
ENEL EUR1 (ENEL)
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08/03/2012 12:14
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