mercredi 24 novembre 2010

Royal Bank of Scotland





ROY BK OF SCOTLAND (RBS)

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 28/10/2013 11:27



Une "bad bank" serait proposée pour RBS, pas un démantèlement

Source : Reuters
27/10/2013 à 09:28 / Mis à jour le 27/10/2013 à 09:30




Une étude demandée par le gouvernement britannique sur l'avenir de la banque publique Royal Bank of Scotland proposerait la création d'une structure de défaisance pour y loger les prêts à problèmes de l'établissement et non une vente de la banque par appartements. /Photo prise le 17 septembre 2013/REUTERS/Stefan Wermuth
Une étude demandée par le gouvernement britannique sur l'avenir de la banque publique Royal Bank of Scotland propose la création d'une structure de défaisance pour y loger les prêts à problèmes de l'établissement et non une vente de la banque par appartements, rapporte samedi la chaîne de télévision Sky News.
Cette "bad bank" recueillerait environ 40 milliards de livres d'actifs défectueux.
Les résultats de cette étude demandée en juin par le ministre des Finances George Osborne à la banque d'affaires Rothschild devraient être publiés vendredi prochain, a précisé Sky News.
L'Etat britannique contrôle 81% de RBS, qu'il a nationalisée en 2008 pendant la crise financière.
Le rapport de Rothschild devrait aussi préconiser une réduction des activités de banque d'affaires de la banque et la vente de certains de ses actifs, toujours selon Sky News.
Costas Pitas; Danielle Rouquié pour le service français






RBS: en hausse avec une recommandation positive Cercle Finance (23/11/2010)
- Malgré un contexte peu favorable aux bancaires ce jour, RBS gagne 0,4% à 40 pence à Londres, soutenu par un relèvement de recommandation d'UBS à 'achat', contre 'neutre' précédemment, avec un ajustement de son objectif de cours de 56 à 48 pence. Le broker souligne que l'action RBS a reculé de 10% en termes absolus et de 5% environ par rapport à l'Eurotop Banks-300, une sous-performance qu'il explique par les inquiétudes au sujet de son exposition à l'Irlande et par une accentuation générale de l'aversion au risque. Le courtier juge 'gérable' le niveau de l'exposition de l'établissement britannique à l'Irlande (50 milliards de livres environ, dont 30% pour l'Irlande du Nord), même s'il s'attend à une poursuite des dépréciations à leurs niveaux actuels. UBS juge le rapport rendement-risque attractif sur la base de valorisation de l'action, mais estime que les fondamentaux ne s'amélioreront que quand les fruits des restructurations deviendront clairs et que RBS sera capable de se désengager des mécanismes de soutien mis en place en 2009.

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