lundi 21 février 2011

Schmoozing ?











schmooze or schmoose also shmooze (shmz) Slang
v. schmoozed or schmoosed also shmoozed, schmooz·ing or schmoos·ing also shmooz·ing, schmooz·es or schmoos·es also shmooz·es
v.intr.
To converse casually, especially in order to gain an advantage or make a social connection.
v.tr.
To engage in schmoozing with: "how to be a professional artisthow to be a businessperson, how to schmooze the collectors" (Paige Powell).
n.
The act or an instance of schmoozing.

[Yiddish shmuesn, possibly from shmues, a chat, pl. of shmue, rumor, Hebrew mû'â, rumor; see m in Semitic roots.]

schmoozer n.
schmoozy adj.

The American Heritage® Dictionary of the English Language, Fourth Edition copyright ©2000 by Houghton Mifflin Company. Updated in 2009. Published by Houghton Mifflin Company. All rights reserved.


Schmoozing, mode d'emploi(s)

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Du bout de la rue au bout du monde, il n'y a souvent qu'un pas. Chacun serait relié à n'importe quel autre individu par une courte chaîne de relations sociales. Appliqué au Web 2.0, cela a donné naissance au réseautage social. Apprenez à vous en servir. Cette technique de mise en relation, facilitée par des applications informatiques très simples, permet de publier des informations, de les partager, d'élargir son cercle d'amis et donc de multiplier les occasions, aussi bien pour gérer ses loisirs que sa carrière.

À force d'avoir des amis communs, c'est toute l'humanité qui est reliée. Attention, internet, c'est comme dans la vraie vie, il faut bien choisir ses amis et être conscient d'engager sa réputation dans la mise en relation d'autrui. N'hésitez pas à créer une adresse mail sur Yahoo! ou Gmail où ne figurent que les contacts que vous souhaitez partager.

Enfin, ne vous demandez jamais ce que votre réseau peut faire pour vous, mais ce que vous pouvez lui apporter. Cela s'appelle l'art du schmoozing.

Activez vos réseaux sociaux

Les derniers irréductibles qui les snobent prennent aujourd'hui un gros risque, pas forcément bien mesuré. Car avec 14 millions d'amis sur Facebook, 2 millions d'inscrits sur Viadeo et 1 million de membres sur LinkedIn, ce nouveau type de sourcing a définitivement envahi le paysage RH. " Les réseaux offrent un véritable instantané en trois dimensions alors qu'un CV se contente de fournir une caricature en noir et blanc ", observe un recruteur. "

Les profils renseignent sur le parcours et sur les interrelations que la personne tisse avec son environnement. L'agrégation de ce flux de données offre une image autrement plus performante lorsqu'il s'agit de jauger des aptitudes et de la personnalité des auteurs. " Y a-t-il un risque à s'exposer sur les plateformes de réseautage ? Que nenni, répond le chasseur de têtes.

" Aujourd'hui, le plus grand danger consiste à brader son CV sur des sites bas de gamme. La stratégie est dévalorisante et contre-productive. Elle souligne le manque alors que, pour bien gérer sa carrière, il faut communiquer de manière subtile et susciter l'envie d'être trouvé. "

Se contenter d'être un membre dormant n'est pas suffisant : il faut peaufiner son profil car c'est souvent la première image que le recruteur aura de vous. Il faut le rendre aussi convaincant qu'un bon CV : informations bien hiérarchisées, formulations claires et dynamiques. N'oubliez pas, enfin, que les recruteurs jugent aussi les candidats sur leur réseau relationnel : si vous n'avez que deux amis sur Viadeo ou trois contacts sur LinkedIn, il est temps de multiplier les demandes de mise en relation.

Twittez

De plus en plus de cabinets de recrutement s'affichent sur Twitter, ainsi que des chasseurs de têtes, qui s'y rendent à titre personnel. Il est indispensable d'y repérer ceux qui recrutent dans votre domaine et de les suivre (devenir leur follower) en s'inscrivant sur leur page. À noter : certaines grandes entreprises y publient également des offres d'emploi. L'annuaire Twellow, l'équivalent des pages jaunes pour Twitter, vous aidera à identifier des professionnels par secteur d'activité.

C'est d'autant plus intéressant que certaines offres d'emploi (notamment celles qui concernent des profils plutôt techniques dans l'univers du Web) ne sont publiées que sur Twitter : vous y serez en concurrence avec moins de candidats. Sur Facebook, certains cabinets de recrutement ont créé des groupes. Devenez donc leur fan en rejoignant leurs pages, pour vous tenir au courant de leurs annonces.

Soignez votre e-réputation

À l'heure actuelle, les candidats peuvent facilement dénicher des informations moins institutionnelles sur leurs entreprises cibles, via les forums, les blogs et les réseaux sociaux. Mais l'inverse est vrai aussi. Car les entreprises ont souvent accès aux données privées que les candidats laissent négligemment traîner sur le Web... à leurs risques et périls. "

Dans cette société de la gestion d'image, il est très important de savoir faire une séparation entre réseaux sociaux professionnels et personnels, et d'activer tous les paramètres de sécurité autour de sa vie privée ", prévient François Meulemen, consultant RH et formateur en techniques agressives de recherche d'emploi. " Ce n'est pas une menace virtuelle, des discriminations à l'embauche ont déjà été signalées aux " États-Unis à la suite de profils Facebook ouverts à tous vents. "

Créez votre blog

Et si, en " googlant " votre nom sur internet, votre futur employeur débouchait non plus sur vos dernières photos de fiestas arrosées à Ibiza, mais plus opportunément sur votre blog professionnel ? Une bonne façon de booster son e-réputation en se posant en spécialiste incontournable d'un secteur. " Le Net peut devenir une belle vitrine pour ceux qui savent s'en servir astucieusement ", assure François Meuleman.

" En partageant vos informations, votre veille et vos analyses avec vos collègues et confrères, vous démontrez votre compétence et votre valeur ajoutée. Et vous créez du lien professionnel sans grand effort. "

Faites du buzz

" Pour sortir du lot, les cadres doivent communiquer sur leur image, faire du buzz autour de leurs compétences sur les réseaux dont ils sont membres ", insiste François Meuleman.

" En tant que chercheur d'emploi, partagez votre expertise en générant des documents que vous mettrez en ligne à disposition des entreprises. Soyez présents sur des sujets sensibles et postez des mémos Slideshare. Vous créerez ainsi un trafic autour de votre nom et, sans le vouloir, vous augmenterez votre référencement ", suggère le consultant. Participation à des tables rondes et autres événements concrets, blogs, réponses à la presse : autant de manières détournées d'augmenter sa visibilité pour mieux se faire repérer.

But ultime : stimuler la valorisation par un tiers. Car il est toujours préférable qu'un autre vante vos qualités, référence vos publications ou vos réalisations. De manière détournée, les candidats 2.0 usent de plusieurs avatars (personnalités virtuelles ou mails de substitution).

Ces différentes identités, tant qu'elles restent fictives, leurs permettent de s'immiscer dans les réseaux sociaux des recruteurs. La manœuvre a toutefois son revers de médaille. Pas plus que les succès, les maladresses et les incohérences n'échappent au radar des moteurs de recherche.

" Un homme averti en vaut deux ", rappelle François Meuleman. " Plus que jamais, tout individu doit surveiller ce que l'on dit de lui en tapant régulièrement son nom dans Google. "


Connaissez- vous le "schmoozing" ?

Publié le 20 décembre 2007 par Marc Traverson

L'art de la conversation n'est pas donné à tout le monde. Et celui de naviguer à l'aise dans les cocktails, meetings et autres réunions publiques non plus. J'en sais quelque chose, ayant quelque difficulté à survivre dans ce genre de situations que j'ai d'ailleurs tendance à fuir.

Le mot schmoozing a une sonorité amusante, et pourrait bien, pour cela, rester dans les mémoires. Schmoozer, verbe amusant pour recycler une notion vieille comme le monde, a été remis au goût du jour par Susan Roane et le bloggeur Guy Kawasaki. Schmoozer, c'est nouer rapidement des contacts professionnels, trouver son chemin dans la foule des anonymes, savoir "briser la glace" avec élégance et cultiver les relations… Ce talent particulier, qui n'est rien d'autre en somme que l'art d'être à l'aise en société, c'est ce que j'appelle aussi grooming. Vous allez voir qu'on descend d'un cran dans l'échelle de l'évolution.

Le grooming, c'est l'art de la papouille chez nos cousins primates supérieurs, chimpanzés, macaques, gorilles, etc. C'est par exemple l'épouillage mutuel, qui est une façon de se rapprocher les uns des autres, sur des enjeux mineurs, par l'échange de menus services. Moment stratégique ! Dans les entreprises, le grooming se pratique beaucoup autour des points d'eau – j'ai nommé la machine à café. C'est là que l'on renoue les liens, que l'on dissipe la gêne et que l'on ressoude la communauté. Comme Homo sapiens est un être de langage, et que l'épouillage ne se pratique plus guère, on y a substitué des discussions sur le temps qu'il fait, diverses blagues, et le colportage des rumeurs (les Anglo-Saxons, qui ont selon moi le génie de la formule, parlent de small talk). Bref, on parle pour ne rien dire. Attention, ne vous méprenez pas : ces rituels sont hyper importants. Les gens qui répugnent à ces échanges informels sont souvent réputés froids, distants, ou casse-pieds. Et les bons négociateurs savent commencer par un peu de "small talk" avant d'en venir au plat de résistance : les sujets réputés sérieux.

Le schmoozing, modernité oblige, peut aussi prendre la forme d'un petit mail, ou d'un coup de fil. Les spécialistes diront que vous faites dunetworking, que vous entretenez votre réseau. De l'art et de la manière de nouer et de maintenir les liens faibles, dont on sait qu'ils sont les plus fructueux pour ouvrir de nouvelles opportunités professionnelles. Schmoozer, comme le reste, cela s'apprend…

The Summer Schmooze Summary: It’s Beyond Small Talk

By Susan RoAne, The Mingling Maven®

Yes, schmooze is everywhere in the news. I get daily google alerts when it appears in newspapers around the world. It’s Yiddish and it means easy -going, relaxed conversation. It does NOT mean “making business contacts” nor does it mean “sales success”. Can good conversation lead to both? OF COURSE! The best of business relationships starts with small talk--- the little things that begin the schmoozing --- and turns the verbal exchange into valued communication.

Some very confused people who are not familiar with the definition of schmooze misunderstand and misuse what it is as well as miss the essence. People connect to us via our common interests, experiences, issues and stories. Our words, responses and our visual /non- verbal reactions show that we are LISTENING. It starts with small talk that, with on-going interest in what your conversational partner is saying, turns into BIG TALK.

These days you can’t pick up a paper or journal and NOT read about schmoozers and people who are working the rooms of their life. We all need to do it and we must do it better. The goal is to do to so SINCERELY in order to build relationships and the trust that builds business.

The best of conversationalists read, pay attention to what is going on in their communities, companies, neighborhoods and the world. They have charm, are engaging and make us feel at ease. The next time you meet one of those special people… observe:

what they do,

what they say,

what they DON’T say

how they respond.

Watch them LISTEN. You may notice that the best listeners lean in to hear better. They never look as if they are planning a grocery list or ‘waiting their turn’. These are great people to imitate which, in this case, is a sincere form of flattery.

Listen to them speak. The best conversationalists do not merely ask a barrage of questions and appear to be prying. They also share stories, insights and ideas because they do listen and like people. Be very leery of lists of questions provided by some so –called experts as “ideal ice-breakers” for small talk. Too many of the questions suggested are invasive, personal and give the impression that you have gone to the school of “Canned Conversation” ®

What Do I Say Next? provides a practical and thorough guide to starting, maintaining and ending connected conversation so that you schmooze and win---jobs, business and most importantly: friends.



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